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  • Une Photo inexistante faisant office de Photo de la semaine - Cassandre : Tu es... très complexe Knuckles - je ne comprends plus rien à ce que tu me dis - je n'ai pas suffisament d'énergie pour te suivre. Knuckles : Lol - Bon, tu as raison, je devrais m'imaginer dans un bar PMU. Ce n'est plus un verre de vin que j'ai en main mais tout simplement un grand pichet XL. Mouais ma foi je peux me prêter à ce jeu.

    Une semaine particulièrment aseptisée qui somme toute fut bercée sous le signe de l'incohérence et de l'absurde - Je jette l'éponge [...] Je n'ai vraiment plus trop de temps à perdre - à tergiverser ça et là - c'est usant - pas envie non plus, de faire bonne figure. Je poursuis ma ballade. C'est con je suis tout de même passé à côté de petites révélations récemment. Je sais à présent ce qui me reste à faire [...]


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  • Libby, soupirant, fixant son verre de champagne : Il me faut une nouvelle fourrure. Daisy de la même voix atone : Longue ou à la cheville ? Caron : Ou une étole ? Libby réfléchissant intensément : Soit longue, soit... J'ai vu une sortie de bal courte, très douce... Daisy : En vison naturellement ? C'est bien du vison ? Libby : Oh, ouais. Du vison.

    Je donne un coup de coude à Taylor, lui chuchotant : Réveille-toi. Elles parlent. Il faut que tu voies ça. Caron, poursuivant son idée : Mais quel genre ? Daisy : Tu ne trouves pas que certains visons sont trop.. ébouriffés ?

    Daisy pensive : Le renard argenté se fait beaucoup. Libby : On voit aussi de plus en plus de tons beiges. Quelqu'un : Qu'est-ce qu'il y a comme fourrures beiges ? Quelqu'un : Le lynx. Le chinchilla. L'hermine. Le castor.

    Taylor, clignant des yeux : Salut. Je suis là. Moi, soupirant : Rendors-toi, Taylor. Taylor s'étirant : Où est Mc Demott ? Moi haussant les épaules : Il se balade en bas. Il cherche de la coke. Quelqu'un : Le renard argenté se fait beaucoup. Quelqu'un : Le raton laveur. Le putois. L'écureuil. Le rat musqué. L'agneau de Mongolie. Taylor :Dis-moi, je rêve ou c'est une vrai conversation que j'entends là ? Moi avec un sourire crispé. Eh bien ça en tient lieu, j'imagine. Mais chut... Ecoute. C'est riche d'enseignements [...]

    Je reconnais Alison. C'est une fille que je me suis faite au printemps dernier, quand je suis allé au Derby au Kentucky avec Evelyn et ses parents. Je me souviens qu'elle a crié quand j'ai voulu lui fourrer tout mon bras dans le vagin, avec des gants, de la Vaseline, du dentifrice, tout ce que j'avais pu trouver. Elle était bourrée, défoncée à la coke, et je l'avais attaché au fil de fer.

    Je l'avais aussi baillonné avec du Chatterton, je lui avais collé partout sur le visage, sur les seins. Je sais que Francesca m'avait fait une pipe, avant. Je me rappelle plus du jour ni de l'endroit, mais elle m'avait fait une pipe, et j'avais apprécié [...]

    Salut, fais-je avec un faible sourire. Mais très vite je reprends confiance. Alison n'aurait jamais raconté cette histoire à quiconque [...] Elle ne dit rien. Elle me  regarde comme si j'étais l'inverse de la civilisation, un truc comme ça. Mon Dieu, Taylor est-il endormi ou tout simplement mort ? demande Francesca, ingurgitant le reste de mon sorbet. Au fait avez-vous vu Page Six, aujourd'hui ? Je suis dedans.

    Bret Easton Ellis, American Psycho


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    Bonne nouvelle - c'est le début de la fin... Lorsque l'on n'a plus grand chose à dire et que l'on est en mesure, de mieux se contrôler et de censurer son flux. May be b'cause I've got less and less choice 2day and I have to preserve myself - and my fucking real identity ...

    C'est moins drôle d'être lu - lorsque l'on n'est plus totalement anonyme aux yeux de certains - ça peut jouer des tours. Jusque là - les Player(euse)s avaient été trié(e)s sur le volet - c'est un peu plus complexe à pésent. Un peu comme un lendemain de cuite [sentiment de vide et quelques absences] - je ne sais véritablement plus combien de personnes parmis les réguliers ou initiés, m'ont réellement rencontrées.

    Je m'y perds un peu ces temps-ci [ Petite parano de fin d'aprèm ] Disons que je vais être contraint de codifier davantage, mes petites nouvelles. A tel point qu'elles seraient succeptibles d'être décryptées que par une p'tite masse critique de personnes - un peu comme à la genèse du blogg, à l'époque où il ne carburait qu'à 20 visites par jour - 0 programme de cette nuit : une p'tite soirée et une impasse.


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    Hier soir au Djoon, 4Hero - Marc Mac - Jill Scott - Pharcyde - Vikter Duplaix - Ultra Nate - Terry Callier - Ursula Rucker - Escoffy - Tribe Called Quest à l'écoute. Au matin, jolie gueule de bois [pour changer] et une envie frénésique de me couper du Monde - Effet Collatéral pour le Park - moins de MAJ en perspective, ce qui suscitera certainement un soulagement non dissimulé auprès de la garde raprochée de Raphaël (le chanteur) - dont une partie de ses suppôts et de son fan club s'est efforcée tant bien que mal, à décharger tout son fiel un lundi 8 mai à une heure de très faible audience et de micro-traffic. Dommage coup d'épée dans l'eau, peu de soutien et de réaction.

    Ceci en réaction à un p'tit article un zeste cynique publié un 11 avril, "La fade attitude". Je quitte cet aprèm, le navire mais je prévois de temps à autre de répondre par ci et par là, à 2 ou 3 commentaires - tout en publiant 1 jour sur 4, une nouvelle - au gré de mon humeur.

    Je ne comptais surtout pas me la jouer à la Jean-Marc Morandini (morandini.canalblog.com) passé en mode "Ghost Blog" - inventant une excuse très bidon, et prétendre arrêter suite à diverses critiques reçues ça et là [Work finally killed my creativity, I've got new priorities]

    Le Chevallier Lantrowsky  [attendant sa monture Rue de Buci ]


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